Lettre ouverte en réaction à l'infolettre "Solution prescripteurs sporadiques (...)"
Il est erroné et choquant de réduire la problématique au fait qu’un DME (dossier médical électronique) serait « un outil démesuré » pour des « prescripteurs sporadiques » qui n’auraient « que rarement des contacts avec des patients ». (…) En aucune façon, par exemple, la dizaine de médecins pratiquant dans l’ambulatoire toxicomanie bas seuil bruxellois, et émettant à ce titre probablement plus de la moitié des prescriptions de stupéfiants dans des structures produisant plus de vingt milles contacts annuels, ne peuvent être qualifiés de “prescripteurs sporadiques” qui n’aurait “que rarement des contacts avec des patients”.