La continuité des soins pour les usagers de drogues en détention : une nécessité pour la réinsertion (MursMurs)

mercredi 30 août 2023 AJ 0

Deux ans après le centenaire de la loi de 1921 « drogues », le constat est éloquent : le nombre de personnes détenues condamnées pour des faits liés aux stupéfiants est passé de 42,2 % du total de la population carcérale en 2005 à 50,8 % en 2018. Quel levier mobilise-t-on depuis l’intérieur des prisons pour assurer une continuité des soins, comme amorce des prémices d’une réinsertion ? Des projets tentent de faire office de bulle d’air dans la réalité, souvent très sombre, de la sortie de prison.

Belgique, pays qui occupe la première place du podium en ce qui concerne le pourcentage de personnes incarcérées pour des faits liés à la drogue (Conseil de l'Europe)

mercredi 28 juin 2023 AJ 0

Statistiques pénales annuelles du Conseil de l’Europe : La Belgique occupe la première place du podium en ce qui concerne le pourcentage de personnes incarcérées pour des faits liés à la drogue. Au 31 janvier 2022, moment où les statistiques du Conseil de l’Europe ont été arrêtées, 51% des détenus se trouvaient ainsi derrière les barreaux pour cette raison, loin devant la Lettonie (43%), et l’Azerbaïdjan (37%) et très loin devant la moyenne européenne (19%).

Peines de prison : « Stop à l’extension infinie du sécuritaire » (Le Soir)

jeudi 01 juin 2023 AJ 0

Un large collectif d’avocats et d’universitaires s’oppose au projet de loi que présentera le ministre de la Justice, Vincent Van Quickenborne (Open VLD), mardi prochain en commission. Les signataires dénoncent la volonté du gouvernement d’ajouter, pour certains auteurs d’infractions graves, une mesure de sûreté à la fin de leur peine d’emprisonnement. «Cette logique ouvre la voie à un droit pénal autoritaire».

MursMurs : le nouveau numéro de la newsletter d'I.Care est sorti

mercredi 21 décembre 2022 AJ 0

Lorsque l’on se penche sur la notion de « genres » dans les prisons de notre Royaume, nous pouvons vite nous rendre compte qu’elle fait partie des notions méconnues. Pourtant, parce que les minorités de genres incarcérées nécessitent des attentions particulières, il est primordial, dans l’élaboration de règlements et politiques, de mettre à bon escient l’usage de cette notion.