A sa demande, la Colombie-Britannique est la première province canadienne à connaître cette exception qui concernera l’héroïne, la cocaïne, les opiacés et autres drogues “dures”.
“Nous faisons ça pour sauver des vies mais aussi pour que les personnes qui prennent de la drogue retrouvent leur dignité et leur droit de choisir“, a expliqué Carolyn Bennett, ministre de la Santé mentale et des dépendances, ajoutant que ce projet pourrait être appliqué dans d’autres provinces.
Selon la ministre, “pendant trop d’années, l’opposition idéologique” visant à considérer la possession de drogues comme un problème sanitaire a “coûté des vies“.
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Lire la suite / source : Le Canada dépénalise les petites quantités de drogues dures dans l’Ouest (RTBF/AFP, 1/6/2022)